vendredi 6 avril 2007

Petit matin insignifiant

Vendredi Saint....Pâques! Des célébrations du passé.

C'est un vendredi saint que ma mère est entrée pour la dernière fois à l'hôpital du St-Sacrement, transportée dans la « station wagon » brune avec une cerise sur le toit, du chef de police de Ville de Duberger, Marcel Petitclerc. Je ne l'ai pas accompagnée...je devais donner mon show devant le peuple, en lisant les textes saints à l'office de 3hrs. Avoir su...elle y est morte le 27 avril suivant, pour moi un avant-midi passé en train de Québec à Montréal puis en Viscount à quatre hélices de Trans Canada Air Lines, de Dorval à Québec où m'attendaient des gens de ma famille, Odina, je pense. J'allais comme journaliste accrédité assister à l'inauguration officielle d'Expo 67, Terre des Hommes. Projet évidemment à l'eau! Le 27 avril 1967 donc 40 ans! Incroyable comme nous passons vite dans le temps. J'avais 18 ans (19 le 20 juin suivant). Je travaillais à CKCV depuis juillet 1966.

J'étais inconscient et irresponsable. La mort de maman devait changer toute ma vie. Dans la maison du 177 de la rue Darveau, il ne restait plus que papa, Yolande et moi. Etrange trio.

La maison fut vendue à rabais au début des années 70. Moi, je déménageais sans arrêt. Papa et Yolande ont loué un appartement (avec une belle vue) au 2982 rue Laroche, à Stye-Foy, app 7, au deuxième plancher. Deux balcons, à l'est et à l'ouest. Deux chambres. Petite cuisine et salon normal. J'étais contre la vente de la maison que j'avais déjà quittée pour aller m'installer dans un petit 3 et demi, au sous-sol d'un bloc appartement à Neufchâtel. A cette époque, les maisons et immeubles à appartements poussaient comme des champignons alors que se développait la banlieue.

Ma soeur Lisette et son mari Gilbert vivaient dans un petit logement situé dans un bloc, sur le boul. Père Lelièvre, à deux voies à ce moment. Ils l'ont quitté en 1967 pour se rapprocher de la famille du beau-frère à Orsainville. C'était le début de la cassure entre la famille Lefebvre et celle des Charland.

Cette année, un Vendredi Saint blanc et froid (-3). J'ai vécu de telles journées où il faisait chaud (+25).

J'aurai toujours la nostalgie de Duberger. Quand ma famille s'y est installée (Petite-Rivière-nord en 1955), ce n'était qu'une dizaine de maisons mal construites mais regroupées en disposition triangulaire entre les rues Darveau, Lemieux et Laverdière, par un entrepreneur juif malhonnête. Maisons mal construites, mal isolées, mal chauffées. Un peu plus haut, où se situe la rue St-Hubert (la rue de Gilles), un contracteur avait bâti les solages et était disparu dans la nature (le même juif errant, sans doute). Les solages sont vite devenus des piscines, le royaume des crapaux et bibittes de tous genres. On allait y jouer. Des tas de terre séchée partout, chemins de terre se transformant en vase sous la pluie. Des champs à perte de vue. Une forêt séparant notre ville de celle de Neufchâtel, où passe maintenant l'autoroute Félix-Leclerc! On allait courir dans les champs des journées entières.

Aujourd'hui, Duberger est un beau petit quartier de la ville de Québec, arrondissement des Rivières. Les arbres que nous avions plantés (les branches que je devrais écrire) un peu partout, ont poussé en 40 ans. Quand je vais sur Google Map, je retourne souvent à Duberger (photos récentes aériennes). Tout est là. On voit une partie du toit de notre maison qui disparait sous les feuillus à pleine matûrité. Il y a beaucoup d'arbres dans le quartier et les piscines y poussent vite aussi.

Je revois les maisons des gens qui étaient nos voisins: à gauche, les Bayer (maintenant décédés), à droite Jacques Lavoie (le petit politicailleux travaillant à l'Exposition Provinciale) et sa famille (couple décédé), puis, sur la rue Lemieux, la maison du coin, Onésime Lavoie avec mes amis Pierre et son jeune frère, le beau blond Jean, que j'ai revu beaucoup plus tard dans les bars gais de Québec. La Maman Lavoie était grosse: une vraie mère de famille des années 50 et 60. Morts tous les deux. Jean Lavoie, toujours très beau. Aucun contact entre lui et moi. Puis, les Lessard (André, le jeune frère du heavy Daniel, s'est suicidé en se pendant dans son appartement des Saules, il y a quelques années). Puis des Laroche et des parents, les Gosselin. Des Tremblay aussi, dont le fils était un vrai bandit à l'adolescence. Notre petit coin de vie, agréable mais parfois exécrable.

J'aimerais y retourner mourir!

A la radio (CHOI-FM), on se moque du Vendredi Saint, de Jésus, des Croix, de la viande qu'on peut manger aujourd'hui....Des athées. L'animateur Gravel a 29 ans! Une grosse tête déjà! On se moque de Jésus et de Dieu. On ne devrait pas. On attaque l'Energie Cosmique, Universelle et selon la loi karmique, cela leur reviendra en mal un de ces matins! Epreuves, maladies, accidents, décès, etc.


jeudi 5 avril 2007

Deuil douloureux

Jour de deuil!

Jean et Marie ont un chenil. Il y a un froid entre Jean et moi mais pas avec sa femme, Marie-Claude. Ils les grands amis de Christiane. Ils ont eu il y a 8 mois une petite chienne qu'ils ont baptisée Vénus, comme ma belle fille de fille que j'ai comme amie. Et elle est morte il y a une couple de jours. Jean l'a réanimée trois fois mais il l'a perdu définitivement. Il est dévasté, m'a écrit Christiane sur messenger mais elle a dit « ça va couper » et oups! elle s'est déconnectée. Je pense que le fait de parler de Vénus l'a énormémet affectée et qu'elle a éclaté en pleurs et elle a coupé la communication.

C'est le deuxième chien qu'ils perdent en peu de temps. Ces animaux, ces amis, ne nous sont que prêtés. Ils sont aussi une destinée et un temps fixé pour nous quitter et quitter leur enveloppe charnelle....les chats ont une âme, c'est certain. Pour les Egyptiens, les Chats étaient des Dieux et vénérés comme tels. Sans doute est-ce la même chose pour les chiens et les chiennes dont les races se sont raffinées avec le temps. De chiens féroces à petits bébés amis que l'on traite comme des enfants. Ce sont nos p'tits bébés et quand un part pour toujours, c'est un grand deuil qui reste à faire. Je me souviendrai toujours de la mort de ma chatte Septembre (née le 1er septembre 1980, au 10 rue St-Stanislas, dans le Vieux Québec). Elle a passé 14 ans avec moi. J'ai dû la faire euthanasier, par inconscience, irresponsabilité et égoîsme! Elle a développé une maladie, sans doute un cancer et je l'ai négligée. Je mettais tout mon fric sur la coke...xcrsisss de fou que j'étais! Je l'ai perdue et j'ai souffert le martyre et je sentais le seul responsable, par négligence, inconscience, sans coeur. La coke fait disparaître nos émotions, les gèle pour un bout de temps....mais il arrive un gros choc et nous sommes frappés de plein fouet. Septembre morte seule...j'ai été invité par le doc à venir à la clinique, prendre Septembre dans mes bras, dans une serviette, et assister à ses prises de 2 piqûres pour la faire mourir. Elle m'aurait sans doute regardée avant de fermer les yeux pour la dernière fois et elle aurait pu conserver mon image en souvenir éternel. Une image d'amour pur et brut. Septembre serait morte dans mes bras. Mais non! Fallait-il que je sois bas? Gros cave! Sans coeur!

lundi 2 avril 2007

Avril neigeux

Lundi, 2 avril: je regarde à l'extérieur à mon lever, à 05h45: tout est blanc. Il a neigé cette nuit et il neigera aussi ces prochains jours. Jusqu'à 10 ou 15cm de neige fraiche. Wow les moteurs! C'est le Printemps. Hiver, va-t-en! On a notre voyage. On a besoin de soleil, de chaleur et de verdure!

Aux Iles Salomon, au nord de l'Australie, séisme de 8 sur l'échelle de Richter, sous l'océan. Tsunami qui a frappé la côte ouest de plusieurs îles. On rapporte au moins 15 victimes (sans doute beaucoup plus en réalité) et la destruction complète de nombreux villages. Les communications étant prtatiquement inexistantes, on n'en saura pas tellement plus mais c'est une autre tragédie.

dimanche 1 avril 2007

Dimanche paisible d'avril

Quel beau dimanche commencant à avoir l'air printanier, même si le fond de l'air demeure toujours frais à Québec, la « porte du Grand Nord »! Au programme aujourd'hui, rédaction de textes astros pour la semaine du 7 au 13 avril. Je vais essayer de reprendre le retard accumulé.

Ma petite chatte Vénus dort sur mon lit. Je l'adore ma petite amie. Elle dort « ben dur », confiante parce que je suis en sa compagnie. Elle n'est plus seule comme tantôt, car j'étais parti à la pharmacie JCoutu échanger ma fameuse dosette de médicaments hebdomadaire.

J'ai un peu paniqué ce matin en me rendant compte que mon anti-virus d'ordi, AVG 7.5 n'était pas fonctionnel. Son icöne apparassait en gris en bas de mon écran. Pas de mise à jour automatique. J'ai fouillé et je lui ai fait faire sa mise à jour manuelle et tout est rentré dans l'ordre. J'ai éteins mon ordi, je l'ai redémarré et l'icône a retrouvé ses belles couleurs. J'étais soulagé. Vendredi, j'ai installé ma webcam mais je pense qu'elle ne fonctionne que sur Yahoo Messenger. Enfin, ce n'est pas grave. La mini-cam qui emprunte la forme d'un oeil, est là sur le bureau, qui m'épie sans cesse.

Je pensais encore ce matin à Jacques Giroux que je ne reverrai plus jamais. Ses cendres sont maintenant dans sa ville d'origine, Montréal. Un autre à qui le cancer a enlevé la vie. Dans 3 petits jours, le 4, il y aurait eu 49 ans que mon beau Gilles arrivait dans notre monde de misère et de foi aussi. Un beau p'tit Bélier, impétueux comme le printemps, décidé, fonceur, hyper-actif, aimable et aimant. Pas de complexe pour ce garçon qui a eu ses premières relations sexuelles avec un homme vers l'âge de 7 ans, je pense. Précoce le p'tit Bélier. Mort du cancer (ou du sida?) à 30 ans, à un mois d'avoir ses 31 ans.

samedi 31 mars 2007

Pourquoi écrire alors????

Pourquoi écrire si le « blogger en chef » vient effacer à notre insu la plupart de nos textes que nous avons travaillé avec doigté et confiance? Trop personnel? Un blogue c'est par définition « personnel ». Je ne puis pas passer mon temps à écrire sur la température et placotter sur les autres?

Je suis très déçu.

Bye,<
Marcel Charland

(30)

Plaisirs de la Nuit!!!!!


PLAISIRS DE LA NUIT

Je viens de clavarder avec Christiane Ça m'a fait du bien. Communiquer!

Siècle de communication et il n'y a jamais autant eu de solitude, de dépression et de suicides. On communique par le cell ou le web. On peut même se voir avec nos webcams mais on ne se touche pas. On n'a pas la réaction émotive de notre interlocuteur, de notre ami. Ça devient virtuel! C'est très contradictoire. Ça explique pas mal le comportement de notre société.

Je suis heureux que la relation ait repris entre Cri-Cri et moi. Je l'ai malmenée, pauvre Christiane. Elle ne le méritait pas. Et elle ne le méritera jamais. Je vais dorénavant lui faire plus attention et tenter de lui faire vivre de belles émotions.

Daniel de 03Magazine m'a coupé la « pub » que je faisais au début de ma chronique, où je donnais même nom nu de téléphone. De toute façon, celle qui donnait mon numéro, la première, la sem. dernière, n'a donné aucun résultat....la chronique est-elle lue? Je me pose bien des questions.

Enfin, je m'en fiche au fond.

Je pense à Jacques Giroux pour qui il y aura rassemblement de parents et d'amis aujourd'hui à Québec avant le transport et l'enterrement des cendres à Montréal, sa ville d'origine. Au moins, il en aura vu des pays en deux ans! Il ne pensait jamais qu'il lèverait l'ancre à 63 ans seulement. Un départ sans retour. Plus on voit les autrs partir comme ça, foudroyé en quelques mois par un cancer généralisé et intraitable. Trois ou quatre petits mois. Comme Gaston à qui le doc avait donné quatre mois à vivre. C'était en juin 2002. Il s'était installé avec son mari Paul dans la Beauce, où ils avaient acheté un foyer pour personnes âgées. Gaston aimait le monde. Un vrai Gémeau communicatif, toujours rieur, souiriant, farceur, ne prenant rien au sérieux: quatre mois. Il est parti quatre mois plus tard, le 19 octobre (même date que Yolande, 19 octobre 1993). Il s'est organisé pour que je ne l'oublie pas. Et son ami denis Sylvain, ceux mois plus tard, le 19 décembre. Dates mémorables pour moi. T'a pas le temps de te retourner. Jacques lui a fait un dernier voyage, il a remonté le Nil vers la Vallée des Morts, en Egypte. Puis il est venu mourir à l'hôtel Dieu de Québec où Gilles a aussui rendu l'âme, comme mon gros ami, Guy Jean, mon oncle gai René Côté, le frère de maman, le « mouton noir » de la famille. Très élégant, aimait le beau et le chic, très efféminé. Il a fait mentir tout le monde en mariant le mannequin (femme) la plus convoitée à Québec dans les années 40. A cette époque, les mariages de « personnalités » (mon oncle était un coiffeur d'excellente réputation à Québec, il faisait un peu de télé à Télé-4 dans les années 60. Puis, divorce. Sa femme l'a trouvé au lit avec un homme!!!! Scandale! Elle lui a fait des problèmes, ruiné sa réputation, René une tapette, une tante, un s'rin, pourquoi pas? Il a fui vers Toronto où il a passé sa vie. Il est revenu à Québec à la fin de son cinquantenaire, pour passer les derniers mois de sa vie avec un gars qu'il entretenait mais qui l'aidait quand même pas mal. A cause des « sprays » utilisés en coiffure, René, qui fumait beaucoup, a eu un cancer de la gorge. Il est décédé dans les années 80 à l'hôtel Dieu. Il ne parlait plus. A cette époque, il y avait plus de clubs gais que maintenant!!! Un soir, je vais au Sélect, une taverne située près de la Place d'Youville. Je m'assis seul à une table, timide comem toujours, yeutant à droite et à gauche et j'aperçois mon oncle René assis à une table avec le même chum et un cousin éloigné, Gérard Janvier! René me voit et m'envoit un petit billet sur lequel il avait écrit : « Es-tu mon neveu Marcel? » Je suis allé les rejoindre à leur table. Ça faisait pitié de voir ainsi cet homme orgueilleux et aussi fier miné par le cancer, la gorge toute enflée. Il est mort quelques jours plus tard. Peu de temps après, j'ai revu son chum, rue St-Jean, main dans la main avec....une fille qu'il embrassait en marchant. René était déjà rendu très loin. Le nom de René était tabou dans notre petite famille. La honte de tous! Homophobes inconscients. C'était les années 50 et 60. Des progrès majeurs ont été faits pour les gais en 80 et 90 mais maintenant, c'est le retour du balancier et tout le monde a la gueule de bois....Il faut être « politically correct ». Tant que les gais resteront dans leur ghetto, comme le village gai de Montréal, leur évolution sociale sera freinée. A Québec, gais et straights cohabitent assez bien, au travail notamment. De jeunes gais dans la vingtaine et trentaine, ils sont nombreux ici mais ils ont leur maison en banlieue ou leur loft au centre-ville. Ils font de bons salaires. Vacances et voyages nombreux. Ils sont très ouverts. J'en croise à tous les jours dans mon quartier de beaux jeunes dans la vingtaine...wow, mignons à sucer!

Mon Dieu, c'est le crépuscule...le soleil va bientôt se lever. C'est nuageux. Je vais, comme un vampire, aller me coucher, mais dans mon lit et pas dans un cercueil.

Ne t'en fais pas, je vais revenir sur mon OBE. Je n'ai reçu jusqu'ici aucun commentaire....est-ce que je n'écris pas dans le vide le plus absolu? J'en ai bien peur parfois. Ce n'est pas un site très achalandé ni même connu!




vendredi 30 mars 2007

Propos d'un vendredi soir de la fin de mars

Vendredi soir, pour moi, une soirée comme une autre. Comme les autres. Celles qui ont précédé et précédé les précédés! Parfois, la solitude me fait peur. Et je pense bien avoir détruit la relation entre Christiane et moi, avec mon maudit courriel de la fin de semaine dernière dans lequel je n'y allais pas de main morte avec elle. Christiane n'a jamais mérité ça. Elle a tout fait pour m'aider. Et ce qui devait arriver arriva. Elle doit être parti à St-Henri avec Jean et Marie. Elle les a choisis et elle m'a laissé tomber peu à peu. Nos rapports sont de plus plus distants et je crois qu'ils agonisent maintenant.
Comme dans le cas de Jean. Je prends « plaisir » à assomer mes amis au moment où ils ne s'y attendent pas vraiment! Et ils s'éloignent vite de moi. Pourtant, Christiane a vraiment été mon amie pendant un certain temps, avant que Jean et Marie ne soient dans le décor. Après, tout a changé. C'est comme s'ils l'avaient adoptée comme leur protégée tout en me rejetant carrément et définitivement. La cassure s'est évidemment étalée sur quelques mois. Puis, je ne suis plus dans leur décor. Je suis disparu comme un fantôme. Je n'existe plus pour eux. Marie me joue la comédie en daignant me parler un peu au café-rencontre mais c'est faux. Tout comme était Jean quand il venait me trouver pour me dire que j'étais son grand ami: riait-il donc de moi? Il semble bien. Maintenant, ils sont parvenus à m'extirper de leur destin et à me lancer dans les rebuts. Pourtant je le savais et j'avais mis Christiane en garde. Mais Jean et Marie et leur chenil dans une maison de campagne à St-Henri, un petit village de la rive-sud de Québec lui offraient presque le « paradis »! Et ils s'occupent d'elle et de sa santé. Pouvais-je concurren cer cela? Poser la question est y répondre.

Je me retrouve toujours « gros jean comme devant »! Je me fais toujours avoir. Parce que je ne suis pas franc et honnête avec mes amis: je suis parfois méchant envers eux et à un moment donné, le top est atteint et même dépassé et c'est la fin. Ce fut le cas il y a un an avec Manuel Laroche qui a coupé tout contact avec moi au printemps 2006 et je le comprends pourquoi il m'a congédié: j'avais dépassé ses bornes et ses limites du niveau de sa tempérance. De son acceptation! Et j'ai perdu, beau cave que je suis. Ah! par où commencer le ménage? Maintenant, je suis « libéré » de tous mes amis, s'ils en étaient vraiment! Je suis seul, isolé, reclus. Je m'haî parfois, c'est pas possible. Comme je puis être con, sur toute la ligne. J'utilise le même pattern pour chaque relation, et je ne m'en rendais même pas compte, c'était à mon insu et je ne cherche pas à me déculpabiliser; je suis un irresponsable mais maintenant, je le sais.

dimanche 25 mars 2007